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Sujet: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Mer 7 Mar 2012 - 4:02
Rappel du premier message :
Je vous fais un inventaire des principaux acteurs dans le domaine des Fichiers Raw. Lors de l'écriture de cet article, certaine version des logiciels présenter sont en passe, probablement, de sortir une nouvelle version. Le bute de cette article, est avant tout, via le forum, d'aider les plus débutants dans le domaine de la photo et du développement Raw. Ceci est une retranscription d'articles que je trouvais personnellement intéressant, est ainsi vous aider au mieux dans le choix de votre logiciels. Plusieurs parties seront développé. Du logiciel propriétaire au logiciels libres. Je tiens à préciser que les logiciels présenté sont avant tout des logiciels destiné au format RAW et ne peuvent prétendre au remplacement des logiciels tels que sont Photoshop, et Gimp par exemple. Bien entendu vous pourrait édité des Photos aux format Jpg, mais vous aurez accès de manière restreinte aux outils que propose ces softs. Comme par exemple; la correction des optiques, le traitement des formats hdr, ect...
Bonne lecture
Lightroom 4
Après une phase de betatesting collectif et gratuit, à saluer, Lightroom 4 est désormais sorti officiellement depuis ce matin. Les nouveautés sont logiques avec d'une part un tout nouveau moteur de rendu d'image et d'autre part des fonctions qui visent à combler quelques retards fonctionnels de son concurrent Aperture (encore abonné au numéro 3 pour quelques semaines).
Les nouveautés sont donc au rendez-vous dans un espace de travail qui n'a pas changé ou peu. Adobe à fait un effort conséquent sur le tarif puisqu'il est divisé par deux. Bien sûr dans les prochaines semaines, Jean-François et moi même donnerons des ressentis quant à la pratique de Lightroom 4.
Une partie des nouveautés. Lightroom 4 apporte une réelle avancée quant au rendu optimisé de la plage dynamique des appareils photo. Concrètement, si l'on prend le cas d'un portrait, il y aura une meilleure restitution entre les tons clairs et foncés. Parmi les autres améliorations, Adobe s'est concentré sur le réglage local de l'image avec la réduction du bruit, du Moiré et de la Balance des blancs. Adobe a réduit, en partie, l'écart fonctionnel de son concurrent Aperture. En effet le module Livre fait, enfin, son apparition en partenariat avec l'éditeur Blurd. La géotagging des photos fait aussi son apparition et se révèle bien supérieure à Aperture 3 avec des fonctions avancées inédites. Lightroom 4, permets d'appliquer des paramètres vidéo prédéfinis et de réglages d'image à des clips vidéo, puis d'exporter ces derniers au format H.264 ou de les publier directement sur Facebook ou Flickr. Tout comme Aperture 3, Lightroom 4 réalise de l'épreuvage-écran. Ainsi, on optimise les photos dans un espace colorimétrique cible et choisir le meilleur espace pour l'impression (pour cela, il faut que l'écran soit parfaitement calibré). Les photos peuvent être exportées en mail depuis un module d'envoi au sein de l'application.
Tarifs et configurations. L'Adobe Store pour l'achat de Lightroom 4. Le prix public conseillé est de 109 euros HT pour la version complète et de 62 euros HT pour la mise à jour. La configuration minimale requise : Mac OS X v10.6.8, v10.7 avec processeur Intel multicœur, ou Microsoft Windows Vista avec Service Pack 2 ou Windows 7 avec Service Pack 1, processeur Intel Pentium 4 ou AMD Athlon 64, 2 Go de RAM et résolution d’écran 1 024 x 768 pixels. Liens… Page d'accueil de Lightroom 4. Toutes les informations sur les nouveautés de Lightroom 4 avec les vidéos de démonstration. Tous les appareils photo compatibles avec Lightroom et ACR. Pour les possesseurs du nouveau Canon EOS 5D Mark III, il faut une version 6.7 d'ACR (pour le moment en release candidate). Pour télécharger la version d'essai de Lightroom 4 pleinement opérationnel pendant 30 jours. Impression de livre avec Blurd. Ce que j'en pense. J'utilise Lightroom comme solution de secours à Aperture au cas ou… dans ce cas, cette base de secours pourra être utilisée soit sur un Mac soit sur PC… Cela pour dire que je connais Lightroom, mais qui ma préférence irait (conditionnel) encore vers Aperture.
Je salue évidemment, toutes les nouveautés attendues de Lightroom 4… des nouveautés logiques et attendues de tous.
Le moteur de rendu d'image de Lightroom 4 est impressionnant de qualité tout comme est impressionnante l'optimisation du contrôle de la dynamique. J'ajoute à cela la fonction Clarté, déjà présente dans Lightroom 3.
Je regrette toujours l'aspect casque à pointe de Lightroom qui n'a rien fun et qui ne laisse aucune liberté de modularité de l'espace de travail comme c'est le cas avec Aperture.
Dans l'espace des regrets, j'ajoute qu'il est toujours impossible de faire des sélections multiples de photos (oui dans Aperture) ; qu'il est impossible de faire une synchronisation native avec l'iPhone. Et enfin, l'envoi de photos s'effectue depuis l'application Lightroom et ne reconnait pas le Carnet d'Adresses.
En dernier mot et pour avoir une vue ultime de l'ensemble des produits, il faut attendre encore quelques semaines pour le comparer à Aperture 4. Pour ma part, je pense (je me trompe peut-être) que les jeux sont faits et que Lightroom a gagné une bonne partie de l'espace photographique. Mais je tiens à rappeler que Capture One Pro permet d'obtenir toujours les meilleurs rendus… En tous les cas bravo pour cette nouvelle version de Lightroom 4.
Logiciel : DxO Optics Pro 7 Éditeur : DxO Labs Site : http://www.dxo.com/fr Applications : développement de fichiers raw Amazon.fr MarketPlace 99.00 Fnac 99.00 PIXmania.com 109.00 Digit-Photo.com 127.90 Amazon.fr MarketPlace 149.00 Comparer les prix
La version 7 de DxO Optics Pro vient d'être annoncée par DxO. Au menu, quelques améliorations apportées aux outils de traitement de l'image, et surtout une refonte du logiciel rendu plus fluide et plus rapide dans ses traitements.
La version 7 sera disponible le 30 novembre, et bénéficie d'un rabais de lancement jusqu'au 24 décembre: l'édition standard est à 99€ au lieu de 149€ alors que la version Elite est vendue 199€ au lieu de 299€.
De plus les personnes ayant acheté DxO Optics Pro 6 après le 1 septembre se verront offrir la mise à jour vers la v7. Les autres auront droit à un prix spécial sur leur mise à jour (sans plus de précision).
Parmi les griefs fait aux précédentes versions de DxO Optics Pro, l'un des points récurrents était une relative lourdeur. Et une certaine lenteur à l'export des fichiers.
Pour la version 7 les équipes de DxO ont donc mis le paquet sur cet aspect précis des choses. Et le résultat est un franc succès. Oh même avec un PC puissant on continue de voir des petites "roulettes" de temps à autre, mais l'impression de lourdeur est grandement gommée. GP-GPU: des temps de traitement boostés
Mais c'est à l'export que les choses sont transfigurées. DxO Optics Pro 7 prend en effet en charge l'accélération GPU à l'export. Pour ceux qui ne connaîtraient pas la technique, il s'agit d'exploiter le GPU (le processeur graphique) de votre carte graphique. Ce dernier est en général puissant, et n'était habituellement sollicité que pour faire tourner un jeu 3D. D'où l'idée d'utiliser cette réserve de puissance dormante pour aider le CPU (processeur) à calculer des tâches lourdes. Les premières application à en bénéficier ont été les encodages vidéo. Le traitement d'images étant lui aussi parfois lourd à gérer, il est logique et légitime de le voir exploiter. Saluons au passage le choix de DxO de choisir OpenCL pour exploiter le GPU au lieu de CUDA. Ce dernier choix aurait limité l'usage du processeur graphiques aux seules cartes nVidia, alors que l'OpenCL, standard ouvert, est supporté par AMD-ATI, Intel et nVidia. Attention, l'accélération OpenCL n'est malheureusement disponible que sur Windows, la version Mac OS X ne profite que de l'optimisation classique des algorithmes du logiciel.
Un petit coup d'oeil sur des outils d'analyse permet de voir rapidement qu'Optics Pro 7 utilise bien le matériel à sa disposition. Lors des phases d'export la totalité des coeurs logiques et physiques sont utilisés.
Et l'activation du support de l'OpenCL dans les options du logiciel permet de très bien solliciter la carte graphique également. L'image ci-dessous montre bien sous la flèche verte des pics d'utilisation du GPU, montant quasiment à 100%. A chaque pic correspond le traitement d'une image. Tout fonctionne exactement comme il le devrait !
Et dans la pratique, l'activation du support de l'OpenCL débouche sur de gros gains de temps. Nous avons fait le test sur un lot de 30 fichiers RAW sur lequel nous avons appliqué l'autoréglage de réduction du bruit, puis que nous avons redimensionné en sortie Jpeg. Verdict : 166s avec notre seul Core i7 2600k, et 77 s en y ajoutant le GPU. Un résultat on ne peut plus concluant !
Si le couple appareil / optique est connu de DxO Optics Pro 7, le logiciel s'occupe de rapatrier automatiquement les données pour optimiser le traitement des images.
On notera au passage un point que DxO pourrait corriger : l'éditeur continue de recommander le traitement des images 2 par 2 dans le paramétrage du logiciel. Or dans la pratique, aligner le nombre d'images à traiter sur le nombre de coeurs physiques dont dispose le processeur s'avère bien plus efficace. Pour nos 30 images, avec l'OpenCL activé, le traitement a pris 106s en configurant le traitement des images deux par deux, et 77 s quatre par quatre. Recommander un traitement des images par deux semble donc un peu futile. On regrette toutefois que l'application en soit pas optimisée 64 bits. Sans doute dans une prochaine version.
Un masque de netteté amélioré
La fluidité et la vitesse ont été l'un des aspects centraux de la nouvelle version, mais DxO s'est aussi penché sur le traitement de l'image. Et l'un des points améliorés est celui des masques de netteté. L'outil existait déjà dans les précédentes versions. Mais il a été enrichi d'un curseur "Bords" permettant d'appliquer le traitement de manière progressive dans le champ. On pourra par exemple compenser plus fortement les bords que le centre, ce qui permettra de compenser un défaut récurrent des optiques de toute marque qu'offrent souvent un centre bien mieux défini que les bords.
La netteté peut-être améliorée de manière automatique si vous avez installé le module du couple optique-capteur avec lequel la photo a été prise. Mais l'ajustement peut toujours être fait en manuel. Et ce curseur "Bord" est extrêmement pratique dans le cas d'optiques inconnues de DxO. C'est le cas de l'exemple ci-dessous fait avec un Nikkor 50 mm f/1,2 AiS.
Un menu est placardé sur un mur à gauche de la rue. Pousser le curseur Bords sur 200 en laissant le centre à 100 permet de bien récupérer les détails périphériques.
Un bokeh préservé
DxO a également amélioré un point crucial: la préservation du bokeh. Appliquer trop de netteté sur l'ensemble d'une image peut en dénaturer le flou d'arrière plan, ce qui est souvent dommage. Dans l'exemple ci-dessous nous avons appliqué un masque de netteté sur l'ensemble de l'image, bords inclus. L'arrière plan est bien préservé, alors que l'objet net a vu sa netteté renforcée.
Un crop de l'image avant correction :
Et après application du masque de netteté :
Couleurs saturées mieux préservées
Enfin DxO Optics Pro 7 améliore la sélectivité de l'outil destiné à préserver les détails dans les couleurs fortement saturées: les zones très saturées seront préservées (curseur de protection des couleurs saturées) alors que le reste des couleurs non saturées ne seront pas affectées. Le test des bonbons est un excellent indicateur de l'efficacité de l'outil: regardez les bonbons rouges, la différence est flagrante. En appliquant en plus un masque de netteté sur l'image on parvient à un résultat très... acidulé, et détaillé, même dans les rouges.
Cette nouvelle mouture est sans conteste un bon cru. En apparence peu de changements... mais la prise en charge du GP-GPU est un vrai plus qui sera salutaire pour les photographes ayant des dizaines de clichés à traiter. La fluidité a également été améliorée, même si l'ensemble reste perfectible. Zoomez à 100% sur une image et utilisez l'outil main pour vous déplacer dans l'image... quelques petits lags viendront perturber la maneouvre, ce qui n'est pas le cas dans Lightroom par exemple. De même, en plus d'un meilleur support du matériel disponible nous aurions aimé voir une version 64 bit native.
Sorti de ces quelques remarques DxO Optics Pro 7 est un outil convainquant qui nous a séduit par des traitements réussis et pertinents. DxO continue de capitaliser avec brio sur son énorme base de modules capteur-optiques... à raison.
Points forts
Toujours une gestion du bruit électronique étonnante Filtre d'accentuation performant (suite à l'analyse des optiques) Accélération du traitement des images grâce à la prise en charge du processeur graphique Gestion plus fluide des images (les projets ne sont plus incontournables)
Points faibles
Pas de version 64 bits Pas d'optimisation OpenCL pour Mac OS X Gestion du flux de travail encore complexe Pas de version plug-in pour Lightroom / Photoshop ou Aperture
Logiciel : Capture One Pro 6 Éditeur : Phase One Site : http://www.phaseone.com/ Applications : développement de fichiers raw
Si l’évolution la plus évidente est symbolisée par un petit pinceau synonyme d’ « outil de retouche localisée », une seconde évolution plus profonde sera tout aussi importante pour ceux qui ne veulent perdre aucune image. Capture one 6 devient catalogueur. Après le rachat à Microsoft de Media expression, Phase One a sûrement jugé utile d’en intégrer les fonctions de base. L’indexation et la recherche des images et vidéos par interrogation simple ou complexes deviennent enfin une réalité. Une bonne décision qui éviter une noyade assurée dans un flux de fichiers en augmentation exponentielle.
Capture One Pro 6 sait désormais importer les vidéos produites par les reflex numériques.Toutefois, Capture One Pro 6 semble ignorer totalement le format AVCHD, pourtant très populaire sur les reflex.
Disparition
L’icône du Quick Menu a tiré sa révérence. Il rassemblait les modules « histogramme », « styles », caractéristiques de base », « exposition », « balance des blancs » « HDR » . Un menu que les adeptes du principe pourront toutefois reconstituer en personnalisant leur espace de travail.
Apparition
Réglages locaux
Après Lightroom 3, Aperture 3 ou Bibble 5, c'est donc au tour de Capture One Pro d'adopter (enfin) les réglages locaux sur les fichiers bruts. Les réglages se font grâce au pinceau en couvrant les zones à corriger. Les masques peuvent se cumuler. Éclaircir une zone, foncer une autre, saturer une troisième devient possible sans passer par un autre logiciel de retouche. Ces corrections locales non destructives peuvent se faire sur les RAW. La taille et la dureté du pinceau sont modifiables par un simple clic droit. De la même manière, le moirage s’estompe ainsi que le piqué ou la clarté. Une des principales lacunes de la précédente version est donc comblée.
Il est désormais possible de retoucher localement l'exposition d'une image et non plus de jouer l'intégralité d'un cliché.
Comme pour les autres logiciels, il suffit de pendre la zone à modifier pour réaliser le calque de sélection.
Vous pouvez jouer ensuite avec différents paramètres de corrections.
Keystone tools : correction des perceptives
Capture one 6 propose de corriger directement sur les fichiers bruts les défauts de perceptives. Les fuyantes des bâtiments sont récupérées. Ainsi, l’utilisation de la chambre ou d’une optique à décentrement devient moins indispensable, en particulier en architecture. L'opération est réellement simple à mettre en œuvre, il suffit juste de positionner deux guides sur les verticales ou les horizontales pour que l'image retrouve automatiquement les bonnes perspectives.
Une opération simple : aligner correctement les guides aux lignes qui doivent être verticales ou horizontales.
Loupe
Chercher derrière l’icône du zoom ! Le nouvel outil loupe permet de juger la netteté sur les images ouvertes, comme sur celles qui sont rangées dans le browser (film fixe). Pratique !
Imprimante
L’impression se dirige dorénavant sans quitter le logiciel. Il est possible de faire des planches contacts ou, de tirer une seule image par page, en changeant simplement de « templates ». La personnalisation de la mise en page est accessible par le l’onglet « layout ». Le flux de travail photographique s'en trouve donc renforcer. Un excellent point pour cette version 6.
Masque de focus
Seule l’icône change d’aspect. Il permet toujours de surligner les zones les plus nettes de l’image. Une indication utile pour accélérer le travail. Mieux vaut tout de même vérifier à 100%, la netteté des images préférées. Les nouveautés cachées dans les menus
Noir et Blanc
Derrière les trois ronds « des couleurs » se dévoile un onglet Noir et blanc. Une fonction largement attendue par les utilisateurs. De nombreux presets deviennent disponibles pour une création plus rapide d’une version en noir et blanc ou en bichromie. Comme dans tous les modules, la personnalisation s’effectue via de nombreux curseurs pour modifier le rendu selon la couche colorée choisie. On peut également modifier son espace de travail pour obtenir tous les modules nécessaires à un rendu « aux petits oignons ». Ainsi, les outils de clarté et de vignetage affichés sur la même page affinent la présentation de l’image.
Il est possible de configurer son espace de travail pour travailler uniquement sur le noir et blanc.
Des presets permettent de trouver rapidement un rendu convaincant qu'il sera toujours possible d'améliorer par la suite.
Capture One 6 devient un catalogueur autonome.
Plus besoin d’utiliser Expression Media pour retrouver une image importée. Capture One Pro 6 classe, lit et exploite toutes les infos Exif et IPTC afin de retrouver et de classer les images de sa bibliothèque. Plus de problème pour sélectionner toutes les images shootées avec votre dernier Nikon et son 35 mm de rêve.
Il est possible de trier ses images selon différents critères comme la date, la sensibilité ISO ou l'objectif utilisé
Capture One Pro 6 dispose même d'un module de recherche assez élaboré.
Correction des tons chairs
En utilisant le « Pick color correction » on arrive à uniformiser les tons chairs et ainsi réduire les taches de peau disgracieuses et les problèmes de couperose.
Corrections optiques améliorées
Des « presets » enrichissent la liste des corrections automatiques. Des résultats toujours époustouflants sur les franges colorées sans se fatiguer, même si l’objectif n’est pas référencé !
Réduction du bruit plus précise
Capture One 6 se différentie des autres derawtiseurs par une fonction « pixel unique » qui permet de supprimer les pixels noirs ou aveugles, une solution pour lisser sans perdre de détail. Les fonctions avancées lissent l’image précisément ou au contraire ajoutent du grain pour un effet argentique et artistique…
Styles
Toutes les modifications apportées à une image peuvent être enregistrées, mémorisées, et même exportées d’un ordinateur à l’ autre. Une bonne manière pour changer de lieu de travail et de machine, sans changer ses habitudes. Utile aussi pour partager ses solutions de traitement.
Outil dépoussiérage
Légère modification. Il est maintenant plus facile de modifier la taille et la dureté de l’outil par le clic droit. Une bonne solution pour supprimer tache et poussières plus rapidement.
Capture One pilot
Grâce à Capture one Pilot, un shoot s’affiche sur iPpad ou iPhone. Une nouvelle solution pour partager, avec les membres d’un studio, les derniers shoots réalisés sans avoir toute l’équipe collée à l’écran. Très utile pour juger, naviguer dans les dossiers ,pour choisir le meilleur. Le viewer portatif pour tous.
Diaporama
Une fonction « slide show » basique apparaît sur cette version 6. Malheureusement la sonorisation est absente et le temps de passage reste le même pour toutes les images.
Pas de son pendant les diaporamas de Capture One 6. Probablement dans les prochaines mises à jour.
Plein écran
Un mode full screen est également apparu. Trois triangles permettent de masquer ou d’afficher à volonté les outils. L’image prend toute son importance en plein écran..
Notre avis
Capture One 6 Pro est une solution de plus en plus complète pour gérer son flux de production depuis la prise de vue jusqu’à la diffusion. Les évolutions proposées sont vraiment intéressantes et elles permettent (module noir & blanc, retouche locale, module d'impression...) de se hisser au niveau des principaux concurrents comme Lightroom 3, même si ce dernier conserve quelques arguments avec notamment une gestion plus aboutie du format DGN. La version pro présente la totalité des fonctions décrites par contre la version Express perd beaucoup d’intérêt : Les modules « noir et blanc » « keystones » de correction de perceptive, le mode connecté, « Capture Pilot », l’export des sessions, le masque de focus, les corrections optiques, la réduction de bruits… disparaissent tout simplement. Voilà qui est bien dommage, car à 99 euros, cette version serait un bon moyen de convertir quelques passionnés si elle possédait quelques nouveautés et notamment le module noir & blanc. Astuce
La TVA sur le site internet www.phaseone.com la TVA est de 25% . En achetant le logiciel par l’intermédiaire d’un revendeur français, comme de Prophot numérique, elle tombe à 19,6%. Quelques euros en moins qui s’accompagnent de conseils en plus via support@prophot-numerique.fr par téléphone au 01 42 81 58 50.
Sources de l'article:http://www.focus-numerique.com/test-1173/logiciel-capture-one-pro-6-1.html
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Attention depuis peut Bible a été racheté par l'éditeur Corel et se nomme à présent AfterShot PRO . Et, est au prix de 99€
[b]voir le site de l'éditeur Corel
Bibble 5 Pro Gestion, Traitement et Conversion de vos fichiers RAW en un temps record
Bibble Pro est conçu pour fournir un flux de travail photographique extrêmement rapide vous permettant de tirer le meilleur parti de vos images. Bibble Pro propose un nombre de possibilités inégalées, une vitesse de conversion RAW hallucinante et une polyvalence extrême. Bibble Pro vous permet aussi de gérer vos collections d'images, de les organiser, d'effectuer des recherches et différents types de classements. Cependant, Bibble Pro n'impose pas l'utilisation de ses fonctionnalités de classement, ce qui vous permet de gérer librement vos fichiers photo avec d'autres applications ou en utilisant tout simplement un classement via les dossiers du système de fichiers de votre ordinateur. Bibble Pro fournit des outils puissants de traitement d'images au sein d'une application polyvalente et rapide pour optimiser votre flux de production photo. Pour tous les clients pour lesquels les fonctionnalités de Bibble Pro sont trop détaillées nous vous proposons Bibble Lite. Pour connaître les différences entre la version Pro et Lite de Bibble 5, cliquez ici : Lite vs. Pro
Travaillez vos images à très grande vitesse
La rapidité ne se limite pas à la génération de fichiers ou aux performances d'affichage. Un flux de travail efficace doit intégrer de nombreux aspects: l'importation (ou le travail en direct dans votre système de fichiers), la navigation, la sélection de vos images, l'édition des photos, la comparaison des différentes versions et le rendu final. Bibble 5 fait tout cela !
Gestion de contenu : la polyvalence au bout des doigts Bibble 5 comporte de nombreux outils de catalogage qu'on ne trouve habituellement que dans des applications dédiées. Avec Bibble 5 vous pouvez importer tous vos fichiers photo dans un ou plusieurs catalogues. Cela vous permet d'effectuer des recherches, de naviguer et de travailler avec des images contenues dans plusieurs catalogues simultanément, retirant les freins à votre efficacité.
Malgré la puissance du système de catalogage de Bibble 5, il est entièrement facultatif. Vous pouvez travailler directement avec Bibble 5 dans le système de fichiers de votre ordinateur ou utiliser simultanément les deux possibilités pour tirer au mieux parti de chacun de ces systèmes. Aucune autre application ne vous offre autant de souplesse de travail.
Corrections sélectives : un véritable contrôle localisé Multipliez vos possibilités créatives en appliquant toute correction sélectivement directement sur vos photos grâce au système de calques et de régions de Bibble 5. Créez autant de régions que vous voulez par calque sous forme de cercles, de polygones de courbe ou même au pinceau puis appliquez n'importe quel outil à ce calque pour peaufiner le résultat désiré. Les outils de corrections sélectives de Bibble 5 sont 100% non destructifs et ne sont pas limités à un petit nombre d'outils. De plus les réglages sélectifs sont parfaitement intégrés au flux de travail de Bibble 5 : copiez et collez des régions d'une image à l'autre, ajoutez, supprimez, renommez et réorganisez les calques et les régions simplement via le gestionnaire de calques.
Fonctionnalités : Système de catalogage
Importez tous vos fichiers photo dans un ou plusieurs catalogues. Cela vous permet d'effectuer des recherches, de naviguer et de travailler avec des images contenues dans plusieurs catalogues simultanément. Bibble 5 permet également de travailler directement dans votre système de fichiers sans passer par le catalogage.
* Importez et travaillez avec tout vos fichiers photo : RAW, JPEG, TIF, PSD ou DNG. * Organisez votre photothèque en plusieurs catalogues indépendants. * Cherchez et naviguez dans plusieurs catalogues simultanément. * Naviguez par EXIF, IPTC, notation, marquage et libellés couleurs. * Recherches “enregistrables” : accélérez votre flux de travail en simplifiant les recherches complexes. * Affinez votre navigation pour trouver exactement ce que vous cherchez. * Travaillez directement dans votre le système de fichier de votre ordinateur.
Édition sélective
Les outils de corrections sélectives de Bibble 5 sont 100% non destructifs et peuvent s'appliquer à l'image complète ou sur une partie limitée. Les réglages sélectifs sont parfaitement intégrés dans le flux de travail de Bibble 5 : copiez et collez des régions d'une image à l'autre, ajoutez, supprimez, renommez et réorganisez les calques et les régions simplement via le gestionnaire de calques.
* Appliquez toute correction d'image de manière sélective via un système de calques et de régions. * Créez plusieurs régions par calque sous forme de cercles, de polygones, de courbes ou au pinceau. * Copiez-collez des régions d'une image à l'autre pour éviter les tâches répétitives. * Ajoutez, supprimez, renommez et réorganisez les calques et les régions grâce au gestionnaire de calques.
Note importante : Vous pouvez utiliser Bibble 5 en français, anglais ou allemand.
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Aperture 3
Utilisateur Mac seulement
Prix: 199 €
Une interface subtilement remaniée Aperture reste Aperture, avec une interface commune à toutes les Pro Apps, mais celle-ci a pris un petit coup de jeune, avec des polices, des glissières et des boutons plus gros et des icônes plus claires et plus lisibles. Quelques pixels sont certes perdus, mais c'est au profit de la lisibilité et du confort d'utilisation. De manière générale, l'interface est un peu moins austère, sans pour autant distraire l'utilisateur de son objet, le traitement de l'image.
Une des principales nouveautés en matière d'utilisation est le mode plein écran, qui n'est plus limité au traitement de l'image. Il est donc désormais possible d'afficher un navigateur en plein écran une barre de navigation dans les projets s'affichant alors en haut de l'écran. Le mode plein écran traditionnel reste là, la navigateur de miniatures, affiché en bas de l'écran, ayant lui aussi été repensé pour offrir une navigation plus facile.
Il est aussi possible de verrouiller les barres d'outils et les inspecteurs, ce qui permet d'éditer une image en plein écran avec les inspecteurs en vue HUD collés (« stackés ») à un côté de l'écran, configuration qui prend toute sa dimension en mode bi-écran. Pour verrouiller les inspecteurs, il suffit de commuter la petite glissière illustrée d'un cadenas qu'ils possèdent tous.
Le mode plein écran est donc maintenant bien plus utile, permettant à la fois de libérer de la place sur les écrans étroits des MacBook en minimisant l'interface, mais aussi de tirer parti de la surface d'écran gigantesque offerte par nos moniteurs moderne. On remarquera cependant que sur les configurations les plus modestes, il reste toujours aussi exigeant pour la carte graphique (même si le chipset NVIDIA Geforce 9400M des Mac mini et MacBook ne s'en sort pas trop mal).
Importation et organisation : du mieux
La fenêtre d'importation de photos a elle aussi été remaniée : fini les effets et les flèches, place à un panneau plus sobre, et surtout plus fonctionnel.
Il est maintenant possible de définir quels sont les éléments qui constituent ce panneau d'importation, par exemple pour y ajouter le contrôle des mots-clefs, des informations de copyright. Toute la barre latérale du panneau d'importation va dans le sens d'un travail plus séquentiel, et plus automatisé (on peut ainsi appliquer à la volée des préréglages d'image, dont on reparlera plus tard, mais aussi de sauvegarder les images dès l'importation).
Aperture est désormais capable de séparer les images en plusieurs projets définis selon des intervalles temporels (journée, mais aussi semaine ou intervalles de 2 ou 8 heures), même si le plus simple est encore de sélectionner des images et d'utiliser les cases à cocher pour désigner les images à importer. Enfin, Aperture gère désormais mieux la fonction permettant aux reflex d'enregistrer un fichier RAW et un fichier JPG à chaque cliché, et l'on pourra choisir d'importer la paire (avec le JPG comme master, le RAW comme master, ou un master différent pour chaque), ou un des deux seulement.
Il y aussi du mieux dans la manière dont Aperture gère les bibliothèques. S'il était jusque-là parfois ennuyeux de passer d'une bibliothèque à l'autre, Aperture 3 gère désormais cette situation de manière élégante, en permettant de passer d'une photothèque à l'autre par un élément de menu (Fichier > Activer la photothèque), où les plus bibliothèque les plus récentes sont listées. Le nom de la photothèque en cours apparaît clairement dans l'interface pour éviter de se mélanger les pinceaux. Un ajout bienvenu pour une fonction qui faisait défaut à Aperture depuis le début.
Si vous avez l'habitude de travailler sur deux ordinateurs (un en shooting et un au studio par exemple) ou plus, Aperture propose désormais une fonction de fusion et de synchronisation des bibliothèques assez simple. Il suffit de glisser la photothèque que l'on souhaite fusionner dans la fenêtre Aperture d'une photothèque déjà ouverte, et Aperture ajoutera non seulement les clichés manquants à la bibliothèque maîtresse, mais proposera aussi de mettre à jour les fichiers présents dans les deux bibliothèques, mais qui ont été modifiés dans la bibliothèque que l'on importe. Une fonction là encore bienvenue pour accélérer le workflow, même si l'on regrette qu'à l'inverse, il soit toujours aussi difficile de diviser une bibliothèque en bibliothèques plus petites.
Une fois dans la bibliothèque, on remarquera de petits ajustements cosmétiques qui ont une portée pratique. À la manière des événements d'iPhoto, les projets Aperture ont désormais un petit panneau d'informations, permettant de leur ajouter une description et de les localiser, et ils peuvent aussi être regroupés par date ou par dossier.
Enfin, drapeaux et étiquettes font leur apparition, étendant d'autant les possibilités de tri des clichés.
Visages et Lieux : l'influence d'iPhoto D'iPhoto, justement, Aperture s'inspire en récupérant Visages et Lieux. On connaît bien les deux fonctions : la première permet de reconnaître les personnes présentes sur les photos de manière plus ou moins automatique, et la seconde permet de géolocaliser ses images.
Rien à dire sur la fonction Lieux : bien intégrée au logiciel, elle tire parti des rares modules GPS, parfois intégrés aux appareils (comme le Nikon Coolpix P6000… ou l'iPhone), et permet sinon de placer ses photos à la main sur une carte. Carte fournie par Google Maps, ce qui nécessite une connexion à Internet, mais on se consolera peut-être avec la nouvelle vue "Terrain" qui permet d'apprécier le relief de la zone, mais avec un niveau de zoom un peu trop limité.
La plupart des appareils étant dépourvus d'un module GPS, et le placement à la main étant fastidieux, Aperture permet aussi d'utiliser l'iPhone comme module GPS. Il suffit, pendant une séance photo, de prendre des photos-repères avec l'iPhone (doté d'un GPS depuis le modèle 3G). De retour dans Aperture, on pourra assigner les photos localisées prises avec l'iPhone aux photos importées depuis le reflex, pour retracer l'itinéraire de la prise de vue. Une fonction qui sera certainement appréciée par ceux qui aiment se perdre pour prendre des photos.
Si Lieux est plutôt bien intégré, il en va tout autrement de Visages. Cette fonction ne détonne pas dans le logiciel, permettant une autre forme de navigation, mais elle est lente, archi-lente. D'abord lors du passage d'Aperture 2 vers Aperture 3, qui impose de parcourir toutes les images à la recherche de visages : comptez une nuit pour 10.000 clichés en RAW 10MP. Ensuite dans sa manipulation, qui si elle est identique à celle de la même fonction dans iPhoto, est entâchée de nombreux bogues, recensés dans les forums d'Apple comme dans ceux de MacGeneration. En l'état, et sans même discuter de l'utilité de cette fonction, Visages est donc inutilisable sur Aperture 3 — même si la mise à jour 3.0.1 lui a redonné quelques couleurs.
Répondre à Lightroom : ajustements, préréglages, pinceaux Si l'interface simplifiée et l'intégration de Visages et Lieux peut faire penser à une volonté d'Apple de s'adresser à ceux qui se sentiraient « coincés » par iPhoto, Aperture n'en oublie pourtant pas les experts et les professionnels, avec l'intégration de fonctions depuis longtemps demandées : de nouveaux outils d'ajustements comme les courbes, des préréglages d'ajustements, et des pinceaux.
Les ajustements n'ont guère changé, même si les glissières sont désormais un peu plus grosses et un peu plus faciles à manipuler. De nouveaux ajustements font leur apparition : si la correction de l'aberration chromatique était attendue, que dire des courbes, qui font enfin leur entrée dans Aperture ! Leur emploi est plus simple que les niveaux jusque-là employés par le logiciel d'Apple, et permet plus de contrôle, notamment par le choix de la gamme, permettant de travailler au choix sur la totalité de l'étendue de la gamme dynamique de l'image, ou au contraire uniquement sur les tons foncés, et du type de correction, linéaire ou gamma, permettant un grand degré de contrôle, notamment pour le travail sur les zones sombres.
Par défaut, les courbes ne sont pas affichées. Il faut aller les chercher dans la nouvelle liste déroulante des ajustements. Une fois que l'on a affiché les courbes, il est possible de faire en sorte qu'elles apparaissent tout le temps dans la liste des ajustements. Il suffit de cliquer sur la petite icône en forme d'engrenage en haut à droite du panneau, et de choisir "Ajouter à l'ensemble par défaut". On fera la manipulation inverse pour supprimer des ajustements, comme les réglages de précision RAW, à réserver aux experts.
Une autre nouveauté attendue depuis longtemps était le support des préréglages d'ajustements. Apple en fournit quelques-uns, permettant d'appliquer un traitement croisé numérique ou de simuler les filtres colorés en noir et blanc, mais ils prennent toute leur dimension quand ils font partie d'un workflow réfléchi.
Ces préréglages permettent ainsi de corriger un défaut constant et connu d'un appareil (par exemple en termes de balance des blancs), mais aussi et surtout d'appliquer des « styles » à la volée. On peut espérer que comme pour les presets Lightroom, une forte communauté se forme et propose de nombreux ajustements pour Aperture. Une petite bulle permet de prévisualiser les modifications, fonction qui tire un peu sur la carte graphique. Notons qu'il faut passer par le menu "Modifier les préréglages" pour renommer, trier, ajouter et supprimer des préréglages, dans un panneau assez austère, mais qui permet une gestion assez rapide.
Enfin, Aperture vient chasser sur les terres des éditeurs d'images et notamment de Photoshop en incluant, à la manière de Lightroom, des pinceaux non-destructifs. Si Aperture 2 en avait donné un aperçu, Aperture 3 va un peu plus loin, en incluant un outil de lissage de la peau côté retouche, un outil Polariser et un outil Intensifier le contraste qui rappelleront les styles de calque Multiplier et Incrustation dans Photoshop, ainsi que des outils permettant d'appliquer de nouveaux ajustements localisés : réduction du halo (des aberrations chromatiques), réduction du bruit, et flou.
Si l'utilisation des pinceaux pour localiser des ajustements a fait ses preuves, on peut être plus dubitatif quant aux outils "Lissage de la peau" ou "Polariser" et "Intensifier le contraste", dont l'usage est plus intensif. Si les pinceaux d'Aperture savent détecter les bords, ils restent quelque peu imprécis, tout comme le sont les brosses de Lightroom. Une bonne sélection lasso à la tablette sous Photoshop reste encore et toujours le moyen à la fois le plus rapide et le plus propre de parvenir à ses fins.
Et le reste… Aperture 3 s'enrichit aussi de fonctions répondant aux nouvelles pratiques photographiques. De plus en plus de compacts experts et de reflex étant capables de filmer, et parfois très bien, Aperture sait désormais gérer la vidéo, y compris HD. Là encore, la fonction reste anecdotique, avec des possibilités à peu près aussi étendues que celles de Quicktime X en la matière, c'est-à-dire limitées au « trim ». Au moins peut-on définir un éditeur externe pour le montage.
L'intégration des vidéos répond en fait à l'imbrication de la photo et de la vidéo dans le cadre de projets multimédia, en ces temps où l'on produit beaucoup pour le Web. Les nouveaux diaporamas permettent ainsi de mélanger images fixes et animées. Apple les vend comme étant des diaporamas avancés, et ils le sont : supportant la vidéo HD, ils reprennent les thèmes fournis avec iPhoto, en ajoutant deux, "Panneaux aquarelles" et "Panneaux coulissants". Il est possible d'y ajouter de l'audio, des commentaires audio que l'on peut dicter à son appareil et qu'Aperture est enfin capable d'importer aux morceaux sans DRM de votre bibliothèque iTunes. L'ajout des bandes-son (« des », car le multi-piste est supporté) est très semblable à ce que l'on peut trouver dans iMovie, comme le sont les transitions, les titres, les bordures et les couleurs. Un fonctionnement que certains détestent, mais qui est très pratique, et permet de créer des diaporamas prêts-à-envoyer directement dans Aperture.
Enfin, puisque l'on produit beaucoup pour le Web, Aperture intègre des fonctions de publication Web, vers MobileMe, Flickr, ou, peut-être plus anecdotique, vers Facebook. Si l'intégration de ces fonctions est une bonne nouvelle dans la perspective d'un workflow intégré, on peut regretter le choix qu'a fait Apple de la synchronisation absolue : tout changement apporté à une image après sa publication sera reporté sur l'image publiée. Si cela peut convenir à certains, il n'est pas sûr que tout le monde apprécie ce mode de fonctionnement.
Pour conclure On pourrait continuer ainsi pendant des heures, tant Aperture 3 a ajouté ça et là de petites fonctions plus ou moins utiles.
On peut regretter que le logiciel de traitement d'images d'Apple soit encore assez lourd sur les configurations les plus légères : sur un Mac mini 2,26 Ghz avec 2 Go de RAM, le ballon de volley de la mort fait souvent son apparition, ne serait-ce que sur des tâches de visualisation. Surprise : sur un MacBook Air de première génération doté d'un disque SSD, Aperture est une bombe (y compris sur une photothèque de 30.000 images stockée sur un disque USB). C'est donc bien la mémoire qui limite Aperture : 4 Go semblent être la configuration minimale, comme l'est un disque dur rapide (7200 TPM ou SSD) si on n'a que 2 Go, pour limiter la latence du swap. Apple est donc bien optimiste quand elle annonce qu'1 Go suffit…
C'est bien le seul défaut restant à Aperture, Apple ayant visiblement décidé d'être réactive avec son logiciel, livrant trois mises à jour pour Aperture en un mois : une pour le support de plus de fichiers RAW, une de stabilité réglant pas mal de bogues, et une autour des diaporamas. On espère que cette tendance se poursuivra, et qu'Apple rattrapera son retard en termes de support des fichiers RAW.
En faisant le pont entre les utilisateurs d'iPhoto et les utilisateurs les plus pros, Apple a réussi son pari avec cette nouvelle mouture d'Aperture. Sources de L'articles: http://www.macgeneration.com/labo/voir/127161/test-d-aperture-3
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Nikkon Capture NX 2
Même si Capture NX2 se présente comme un logiciel pour gérer un flux de production de fichiers NEF (avec un navigateur de fichier, un éditeur de métadonnées, un module d'impression...), le logiciel Nikon se focalise essentiellement sur la retouche d'image. Ici, pas de module pour la création de galeries en ligne ou la réalisation de diaporama. Le logiciel est pratiquement entièrement dédié à l'amélioration de la qualité des images et à l'automatisation de certaines retouches.
Parmi les nouveautés on retiendra surtout : - la nouvelle palette Quick Fix (Correction Rapide) qui permet de régler rapidement la correction d'exposition, le contraste, la saturation et les hautes/basses lumières. - l'accès direct aux autres briques logicielles Nikon Transfert et Camera Control Pro 2 (vendu séparément à 150 euros) - l'intégration des métadonnées dans les images - la gestion du double écran - l'apparition (enfin) d'un outil de correction des poussières - la possibilité de créer des calques de sélection avec les U-Points pour jouer avec les différents outils disponibles : courbes, flou, netteté, bruit, grain...
Nikon Capture NX2 requiert toujours une configuration matérielle puissante (l'ouverture d'un NEF en provenance d'un D300 peut pendre plusieurs secondes) et si le logiciel est encore plus puissant et complet que la précédente mouture, Capture NX2 reste d'un abord encore délicat pour le néophyte qui devra sans doute se former au produit pour en tirer la quintessence.
Nikon Capture NX2 est disponible pour 199 euros et la mise à jour (depuis la version 1) est à 99 euros.
L'autocorrecteur permet de faire disparaître facilement des indésirables en quelques clics. Le tampon, utilise la technologie U-Points pour améliorer la correction.
Une des nouveauté sdu navigateur de fichiers : la possibilité de créer rapidement des dossiers d'images favoris.
Si l'exemple n'est pas le mieux choisi (un masque par pinceau serait sans doute plus efficace), les U Points permettent de définir une sélection (ici en vert) pour l'application d'un effet, ici, une accentuation sur les yeux. On constate clairement que la sélection est trop large pour prendre en compte que les yeux. Il faut donc ajouter d'autres U-Points pour limiter l'effet des deux premiers
Les autres U-Points limitent l'action des précédents points. Le masque de flou sera appliqué uniquement sur la partie verte des yeux.
Comme la précédente version, les modifications apportées aux images apparaissent comme des "étapes" qui est possible d'activer ou retirer à tout moment. Nikon Capture NX2 n'a donc pas de fonction d'historique, puisqu'il est possible d'intervenir sur les différentes étapes pour modifier le traitement. Les recettes (les empilements des différentes étapes) peuvent bien sûr s'enregistrer pour être appliquées automatiquement sur un lot d'images. Toutes les modifications d'une image sont enregistrées sous la forme de données explicatives dans le fichier NEF. Malgré les traitements, les images sont à peine plus volumineuses et les traitements ne sont que réellement appliqués lors de l'enregistrement d'un fichier JPeg. Le NEF est donc comparable, dans ce sens, au format DNG d'Adobe.
Très intéressant, il est possible d'activer les recettes sur un dossier surveillé. Ainsi, avec Remote Capture Pro 2, vous pouvez définir un traitement spécifique qui sera appliqué au fur et à mesure des prises de vue.
Enfin, rappelons que Capture NX2 permet de créer des styles d'images utilisables dans les boîtiers via Picture Control.
Note: Je vous joins le liens du Fichier Pdf de présentation de Nikon CaptureNX ICI fichier PDF
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Canon DPP 3.9
Si la version 3.8 n’apportait pas un lot d’améliorations très important, Canon accélère avec DPP 3.9. Bien que la version destinée à prendre en charge le nouveau 60D ne soit pas en ligne, on trouve le manuel assez facilement, comme sur le site de Canon US… Dès les premières pages, on peut se rendre compte que la barre d’outils se voit adopter 3 nouveaux boutons correspondant aux outils de vérification rapide, tampon et recadrage. Pour les novices, je trouve que c’est une très bonne idée, bien que, pour un profiter au maximum de la visioneuse de DPP, je préfère masquer cette barre d’outils et appeler ces fonctions via leur raccourci clavier. Je ne critique pas l’effort de Canon de vouloir améliorer son logiciel mais ce qui suit est encore plus intéressant…
Organisation Jusqu’à ce jour il était surprenant que l’on ne puisse pas noter une image lors du tri comme cela est possible avec tout les logiciels de post-traitement. Je ne parle pas ici de marqueur, mais de note, ou étoiles selon les logiciels. Canon avec DPP 3.9, répond à nos attente et va même bien au delà. Accessible par le menu Labels, par l’outil Vérification rapide ou via la barre d’annotation surplombant la visioneuse, le système de flag permet maintenant d’attribuer 5 marques (au lieu de 3 auparavant) et 5 notes étoilées allant de 0 à 5. En supplément il est possible de rejeter une image lors du tri.
Il est vrai que disposer seulement de 3 marqueurs pour organiser son flux de production, c’était un peu léger et cela nous obligeait à travailler en plusieurs passes. C’est une avancée appréciables et l’on dispose enfin d’un système performant, même s’il n’est pas entièrement compatibles avec les gestionnaires de fichiers tiers… J’en vois certains se demandent pourquoi autant d’annotations ? On va voir ça tout de suite.
Les marques Les marques sont à utiliser pour la gestion de votre flux de traitement. Exemple :
1. pour les images à garder et qui n’ont pas besoin d’être retouchées, 2. pour les images à redresser/recadrer 3. pour les images dépoussiérer 4. pour les images à redresser/recadrer et dépoussiérer 5. pour les images à améliorer via la palette d’outils
Les étoiles Concernant les étoiles, elles sont à attribuer une fois que toutes les corrections auront été apportées. Le bouton Reject (Rejeter) est à utiliser pour sortir une image de votre sélection sans pour autant la supprimer. Exemple :
1. Image que l’on peut montrer. Mais sans sortir de l’ordinaire, 2. Idem ci-dessus, mais émotionnellement plus forte, 3. Mérite d’être plus largement diffusée. Peut être mise en ligne dans sa galerie Web, 4. Image qui a du chien ! Elle fait l’unanimité dans votre entourage et au-delà. Celle là, est bonne pour les concours, 5. Idem que 4 étoiles, mais avec une originalité, une présence qui fait quelle sort du lot. normalement, vous n’en n’aurez pas des milliers comem ça… Gardez là pour les concours et votre book. Surtout, ne la mettez pas dans votre galerie. Il ne faut pas montrer ses plus belles images sur la toile. Sans note, l’image est plus que banale, ou a été trop recadrée pour être vraiment exploitée mais vous ne voulez pas vous en séparer. Elle pourrait servir pour illustrer quelque chose. Pour les images rejetées (mais pas supprimées), ce sont celles, par exemple qui pourraient être mieux corrigées lorsque les logiciels de post-traitement auront encore évolué.
Unsharp mask Le masque de flou est une option avancée de l’accentuation de netteté. Si les algorithmes utilisé par DPP pour améliorer la netteté sont très performants, ils ont pour tendance de faire rapidement monter le bruit. Travailler avec le masque de flou va permettre de jouer sur le rayon et les détails à accentuer. Il en ressort une image logiquement moins bruitée et tout aussi nette.
Cela permet aussi de modifier son approche de l’accentuation selon le sujet photographié. Par exemple, on n’appliquera pas les mêmes paramètres pour un portrait que pour un paysage. Pour l’un, on privilégiera les détails (paysage), alors que pour l’autre, se seront plutôt les traits grossiers (contour du visage, mais pas les rides et imperfections du visage).
Sources Comme souvent à chaque nouvelle version, DPP ne cesse de s’améliorer. Un peu trop timidement à mon goût. Disons, trop lentement. Dommage qu’il faille attendre la sortie d’un nouveau boitier pour voir poindre une nouvelle mouture. Mais tout cela va dans le bon sens et l’on ne peut que féliciter Canon qui lui, fournit un logiciel de qualité sans supplément tarifaire.
Dernière édition par Richard le Ven 9 Mar 2012 - 6:23, édité 16 fois
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Sujet: Re: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Jeu 22 Mar 2012 - 6:59
Sujet: Re: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Dim 8 Avr 2012 - 8:04
Richard, Et photoshop dans tout ça, il est où? Je refais un tour complet parce que je ne l'ai pas trouvé Si tu l'as mis ailleurs tu peux me mettre un lien stp Richard, merci lefeohggimzfou
Invité Invité
Sujet: Re: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Dim 8 Avr 2012 - 8:52
Non je ne l'ai pas mis volontairement. Je souhaitais m'en tenir exclusivement au déRAWtiseur Bien que camera Raw en soit un, il est une extension à photoshop. C'est pour cela que je n'ai pas parler de gimp non plus. Et que CJC notre maitre Matmotte en parle deja tellement bien ^^donc si je parle de Photoshop je parle de gimp aussi Et comme je parle pas de gimp je parle pas de photoshop. T'as compris ou.......?
Sujet: Re: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Dim 8 Avr 2012 - 21:28
Mais je croyais gimp et photoshop c'était la mm chose, c'est pour ça que t'en parles pas, l'un est très cher et l'autre ne fait rien de plus que traiter des raw, comme l'autre me diras tu. Je comprens mieux maintenant, tout s'éclaire dans mon esprit!
wolfy 400 ISO
70 554 PACA sud-est Olympus XZ-1 05/04/2012
Sujet: Re: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Dim 8 Avr 2012 - 22:44
La différence entre Gimp et PS est que l'un est gratuit en open source, et l'autre est payant. Mais il faut reconnaitre que celui qui est payant, est beaucoup plus suivi quant aux mises à jour des fichiers RAW pris en compte.
Surtout, PS n'est pas un logiciel de développement à proprement dit, mais un logiciel de traitement d'images, de transformation, de masquage, bref, tout ce que l'on souhaite faire d'une photo, même se mettre en scène avec un Trex. Il fait plus que les derawtiseur, mais ce n'est pas un logiciel de développement. D'ailleurs, je l'ai remarqué dans la photo qu'a retouché Cjc. Ce qu'il fait avec des masques et des filtres, plus le pinceau de détourage, etc..... tu peux le faire juste en poussant des onglets avec LR, mais tu ne pourras pas faire avec LR ce que tu peux faire avec PS.
Après, tout est question de ce que l'on souhaite faire de ses photos, développer et améliorer ou complètement transformer. L'idéal étant d'avoir les deux, mais uniquement dans un but photo; un DxO ou LR est au delà de toute espérance.
Invité Invité
Sujet: Re: Tour d'horizon des logiciels Raw Partie I (ajout: Nikon Capture NX, Canon DPP 3.9) Lun 15 Oct 2012 - 18:42
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Configuration requise
Windows® :
Microsoft® Windows® 7, Windows Vista® ou Windows® XP avec SP les plus récents (édition 32 ou 64 bits) Processeur Intel® Pentium® 4 ou AMD Athlon™ 64, ou ultérieur 2 Go de mémoire vive Espace disque Souris ou tablette Résolution écran minimale : 1024 x 600 Lecteur CD-ROM Macintosh® :
Mac OS® X 10.5, 10.6 ou 10.7 Intel® Mac®, tous modèles pris en charge 2 Go de mémoire vive 250 Mo d’espace disque disponible Résolution écran minimale : 1024 x 600 Lecteur CD-ROM Linux :
Fedora® Core 10 ou Ubuntu® 8.04 ou version ultérieure (distributions 32 ou 64 bits) Processeur Intel® Pentium® 4 ou AMD Athlon™ 64, ou ultérieur 2 Go de mémoire vive 250 Mo d’espace disque disponible Résolution écran minimale : 1024 x 600 Lecteur CD-ROM Dépendances : GLib 2.4, KDE ou GNOME recommandé Activer la composition du Bureau recommandé Bibliothèques de compatibilité 32 bits (ia32-libs) nécessaires aux distributions 64 bits Formats pris en charge
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